NEWSLETTER DU 18 FEVRIER 2013

NEWSLETTER DU 18 FEVRIER 2013

Johnny en concert…en Chine et au Japon… « Le livre des fans » en route vers vous le 4 mars… « Dans mes yeux » numéro 1 des ventes de livres…

Johnny poursuit son tour du monde…

Il l’a annoncé à Vivement dimanche : Johnny chantera à l’automne en Chine et au Pays du Soleil Levant, Le Japon ! Puis, il sera à nouveau en tournée dans l’hexagone en 2014. Bien évidemment, nous vous tiendrons informés dès que bous aurons des précisions sur ces incroyables et belle nouvelles !

En attendant n’oubliez pas que Johnny fêtera ses 70 printemps à Bercy. Il reste quelques places pour le 14 et le 16. De plus en juin, il sera à Bordeaux le 2 juin, à Périgueux le 4 juin, à Dijon le 6 juin, à Douai le 8 juin, au Mans le 11 juin, à Vienne le 18 juin, les 25 et 26 juin à Monaco et le 27 juin à Nîmes.

« Le livre des fans » en route vers vous

Il est enfin prêt ! Le livre des fans sera envoyé à tous les témoins qui l’ont commandé dès le 4 mars. Au final, c’est un ouvrage magnifique et surtout émouvant avec ses 230 pages de textes et de photos sublimes. Chaque membre du club qui a choisi de raconter sa passion de Johnny a joué le jeu de la sincérité et donné un témoignage plein de vérité et de beauté sur Johnny. Merci à eux qui nous ont offert une belle preuve de confiance et un témoignage d’amour unique envers Johnny. Si vous avez choisi de ne pas être dans « Le livre des fans », vous pouvez cependant réserver l’ouvrage auprès de : remi.bouet@limited-access.fr. Nous avons prévu une cinquantaine d’exemplaires pour ceux qui veulent découvrir le premier livre consacré aux fans et adhérents de Limited Access. Nul doute qu’après l’avoir lu, ils voudront faire partie de la prochaine édition du livre !

« Dans mes yeux », numéro 1 de la vente de livres !

« Dans mes yeux », la biographie de Johnny parue chez Plon écrite avec Amanda Sthers est numéro 1 des ventes de livres. 200 000 exemplaires se sont déjà écoulés et ce n’est pas fini. Bien sur, la presse a fait ses choux gras des propos de Johnny envers ses ex proches qui l’ont déçus ou trahis. Comme à son habitude, Johnny est « cash ! » dans ce livre, vrai, honnête et sans faux semblant. Ce qui ne paraît pas plaire à tout le monde ! Plutôt que de nous arrêter sur ces lignes, nous avons surtout retenu les pages qui racontent le Johnny que nous aimons, sensible et écorché vif. Ainsi, à propos de son ami Michel Berger et de l’album qu’ils ont fait ensemble : « Il savait qu’être chanteur, c’était vivre l’abandon à chaque concert qui s’achève. Ne plus savoir quand on descend de scène à quel endroit est la vraie vie, et pourquoi la salle est vide à nouveau, pourquoi le silence l’emporte toujours en définitive. » Sur la jalousie que provoque le succès: « Je me suis toujours demandé pourquoi aux Etats-Unis quand t’as une belle voiture les mecs sourient et te disent formidable et en France on te traite de voleur. Sale mentalité. Pour un pays dont j’ai porté les couleurs, qui a bien voulu faire de moi son emblème quand c’était nécessaire, je me suis senti trahi, accusé à tort, Sali. Souvent mes fans sont plus blessés que moi par ce qu’on peut bien dire. » Sur les concerts du stade de France 1998 :

« Je pense qu’il y a eu un déclic après ces trois concerts. C’est comme si j’avais été sacré. Comme si les Français m’avaient accepté une fois pour toutes dans leur famille. Là, dans ce lieu magique où la France avait été faite championne du monde, voilà qu’on me donnait ce que j’ai attendu longtemps et qui ressemble à de l’amour. Après ça, j’ai enregistré l’album de mon fils David et jamais je n’en avais vendu autant. Plus de deux millions d’exemplaires. J’ai eu le sentiment d’un apaisement. Tout allait bien dans ma vie. Ma femme que j’aimais, mes deux petites filles qui me ravissaient. » Et, « a propos de son père » :

« Quand je l’ai enterré dans le petit cimetière de Schaerbeek, plus de quinze ans avant ce putain de coma dans lequel on m’a plongé, j’étais seul derrière le cercueil. Et moi, quand j’ai failli mourir, je me suis senti seul aussi. C’est peut-être pour ça que j’appelais mon père ? »

Tous ces mots si forts et vrais qui disent tellement de notre Johnny, de ses forces et ses déchirures.

Amitiés du club